Et concrètement:

Et concrètement, parlons un peu du fond de l'histoire...

Que vous "fassiez" du cheval, que vous le montiez pour le plaisir, la compétition, le CSO, ou pour de la ballade à 10 km du premier village, vous ne pouvez pas douter de vous et de ce que vous voulez faire. Ca veut dire:

- Avoir une bonne condition physique en toutes circonstances (si ça vous fait sourire, c'est que ce n'est peut être pas le cas) et donc vous entrainer un minimum...

Mon parcours d'entraineur/éducateur sportif s'est fait sur un spectre assez large (de 3 à 97 ans) et sur de nombreuses pratiques. 

J'ai (dé) formé du cascadeur, du combattant, du blessé, du repris de "justesse", qu'ils soient sur 2 pattes ou sur le dos d'un cheval. Sans oublier les cas particuliers (spondlarthrite, fractures, fybromialgie et autres déplaisirs génétiques...), les "mal voyants" et les handicapés. 

Mais surtout les pratiquantes équestres avec des soucis de L5 (rien avoir avec le groupe de musique...), de sacro-illiaque, de lordose et de genoux liés à de mauvaises postures... Bref de l'ergonomie de travail... 

Stretching, renforcement musculaire, pillate et autres gyms d'entretien = coaching physique = mon job. 

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- Avoir une bonne condition/attitude mentale (si ça vous fait aussi sourire, c'est que vous y avez déjà réfléchi, plutôt bon signe...) et donc vous questionner un minimum:

Ce n'est pas une caractéristique uniquement liée à la performance de haut niveau, et d'ailleurs peu importe le niveau. Quand on n'est pas clair avec soi, avec ce que l'on fait, il en résulte souvent des difficultés inattendues. Mais avec un animal comme un cheval, les répercussions peuvent être assez grandes car le jour ou vous n'y êtes pas et qu'il se passe quelque chose, en général c'est l'humain qui prend. Et votre cheval a une très bonne mémoire. Une seule fois aura suffit. Donc la compréhension de ce que l'on fait, comment on le fait pour pouvoir mieux comprendre comment votre cheval le perçoit est très important. 

Et ce n'est pas la peine de vouloir monter sur votre dada alors que vous faites de la tension, que vous en avez peur ou que vous vous sentez encore dans le bureau du banquier ou de votre patron... Ou que votre conjoint ou vos parents vous tape sur le système... Le cheval n'a pas à supporter votre vie et les tensions qui en découlent.

Donc on ne monte pas sur un cheval si on n'est pas capable de faire le tri dans ce qui vous sert de boite à idées... Ayant quelques centaines de séances de relaxation au compteur, des dizaines de séances d'imagerie mentale, sans oublier l'utilisation d'outils spécifiques au développement personnel et au renforcement mental, je me permets ici d'en souligner l'importance...

Préparation mentale, techniques de gestion du stress = coaching mental = mon job.

Introduisez un ou plusieurs chevaux dans l'équation et vous obtenez un bon plan inter-espèces.